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dim. 31 janv.

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Le MUR espace de création

SAI NO KAWARA // Jean Marc FORAX- Nicolas CHARBONNIER

Sai No Kawara s’inscrit dans la création d’un ensemble de vidéos, de dessins à l’encre, de photographies et de textes qui s’articulent autour d’un même thème.

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SAI NO KAWARA // Jean Marc FORAX- Nicolas CHARBONNIER
SAI NO KAWARA // Jean Marc FORAX- Nicolas CHARBONNIER

Heure et lieu

31 janv. 2021, 15:00 – 19:00

Le MUR espace de création, 8 avenue de sens Ecuelles, 77250 Moret-Loing-et-Orvanne, France

À propos de l'événement

Jean-Marc Forax et Nicolas Charbonnier ont commencé à travailler ensemble pour une série de vidéos et de dessins au fusain se basant sur des extraits de classiques du cinéma japonais. Ils ont toujours entretenu une fascination pour le Japon, pour son cinéma, sa littérature et sa culture. JeanMarc, qui a étudié le japonais à l’université Paris VII, s’y rend régulièrement. Lors d’un de ses voyages il a découvert une série de petites statuettes au temple zojo-ji. Ces statuettes représentent Jizo. 

De là est né son intérêt pour cette divinité japonaise de la compassion. L’installation Sai No Kawara fait écho à l’exposition d’un travail collectif sur Jizo. La représentation de la mort infantile était le thème de l’exposition. En 2011 fut publié « Jizo » aux éditions Talmart, fruit de la collaboration entre Jean-Marc Forax, et un chercheur, Francois Lachaud. En parallèle fut présentée à la galerie Talmart une installation multimédia (JeanMarc Forax, Nicolas Charbonnier, Laurent Guerel), comportant une vidéo de Shunsuke Francois Nanjo. Cette vidéo explorait le thème des limbes, ou « Sai No Kawara » en japonais. C’est ce thème qui a inspiré l’installation Sai No Kawara, deuxième volet de ce projet collectif. 

Sai No Kawara s’inscrit dans la création d’un ensemble de vidéos, de dessins à l’encre, de photographies et de textes qui s’articulent autour d’un même thème. Sai No Kawara Selon la mythologie bouddhiste japonaise, les enfants morts en bas âge, n’ayant pas accompli assez de bonnes actions pour Atteindre le paradis, voient leur âme bloquée dans les limbes. 

Suivant les interprétations, au bord d’une rivière tumultueuse ou d’une vaste mer, ils doivent alors entasser patiemment de petits monticules de galets afin de construire un escalier vers le paradis ou afin de faire œuvre de pénitence pour recevoir le salut. L’avancée de leur tâche est mise à mal par des démons apparaissant pour les tourmenter et détruire les monticules déjà créés. Jizo, divinité omniprésente dans la culture japonaise est un protecteur des enfants et des voyageurs. Il a renoncé à atteindre l’éveil pour mettre sa compassion au service des âmes perdues. Il intervient alors dans les limbes pour protéger ou cacher les enfants de la colère des démons.

Exposition du 31 janvier au 7 mars 2021

dossier de presse

 Mardis/jeudis de 14h à 17h

Samedis de 11 à 18h

Dimanches 31/01, 14,28/02

Commissariat Virginie Prokopowicz

0608684030

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